pixel Facebook

Montréal, 11 juin 2019 –   Aujourd’hui, au parlement d’Ottawa, une délégation de jeunes membres du projet Priorités jeunesse 2019, appuyée par Oxfam-Québec, Fondation Filles d’action, ENVironnement JEUnesse et le comité Jeunes de la FTQ, a déposé ses recommandations à l’intention des plateformes électorales des partis politiques fédéraux, en vue des élections de l’automne 2019 (available in English here).

Laurence Chiasson, Aymeric Gaba et William Des Marais ont déposé à Peter Schiefke, député de Vaudreuil — Soulanges, secrétaire parlementaire du premier ministre pour la Jeunesse, AnneMinh-Thu Quach, députée de Salaberry — Suroît, porte-parole du NPD en matière de jeunesse et Gabriel Ste-Marie, député de Joliette, porte-parole du Bloc québécois en matière de finances et de commerce, le fruit d’une consultation jeunesse tenue le 1er juin courant, à Montréal.

Cette consultation fait partie d’une série d’activités qui seront soutenues par Oxfam-Québec et ses partenaires tout au long de l’été et de la prochaine campagne électorale afin de promouvoir la participation citoyenne des jeunes et de stimuler la participation électorale des jeunes qui est en déclin depuis les dernières décennies.

Cet appui d’Oxfam-Québec à la participation citoyenne des jeunes s’inscrit par ailleurs dans le cadre de la campagne pancanadienne et non partisane de mobilisation électorale de la Coalition canadienne pour le vote/Canadian Vote Coalition. Cette campagne sera menée par une coalition de plus d’une centaine d’organisations canadiennes qui a pour but d’encourager les jeunes Canadiennes et Canadiens à s’informer, à se faire entendre et à aller voter lors des prochaines élections fédérales.

La Coalition canadienne pour le vote #cdnvote2019 lancera d’ailleurs la semaine prochaine son premier bulletin d’information. Le lancement officiel aura lieu plus tard cet été.

Écouter la voix des jeunes

Pour Oxfam-Québec et ses partenaires, il est important d’encourager les jeunes à se faire entendre sur les enjeux qui les concernent, car, comme l’ont souligné de nombreux rapports de l’Organisation des Nations unies, même s’ils forment presque le quart de l’humanité, les jeunes sont largement exclus des processus décisionnels sur les enjeux qui les concernent.

Or, ce sont eux qui devront assumer les nombreux problèmes sociaux, politiques et environnementaux hérités des générations précédentes. On doit les inclure dans les discussions et les décisions si l’on veut mettre en place des solutions durables, inclusives et équitables à ces problèmes, comme le recommande d’ailleurs le Secrétaire général de l’ONU dans sa récente Stratégie jeunesse.

Skip to content