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LIBAN: Les explosions De Beyrouth ont aggravé la crise

Le 4 août 2020, plus de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium détenues dans un entrepôt du port de Beyrouth ont explosé, tuant plus de 200 personnes. Dans ce pays qui était déjà en difficulté, ces explosions ont eu l’effet d’une crise dans la crise. Depuis le « Printemps arabe » de 2011, les besoins des communautés locales ne cessent d’augmenter. Avec le soutien de ses partenaires, Oxfam-Québec apporte son soutien aux personnes dans le besoin.

panneau directionnel

300 000 personnes se sont retrouvées sans abri

main

70 000 personnes ont perdu leur emploi

maison

40 000 bâtiments, 3 000 résidences et 4 hôpitaux ont été endommagés 

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Un pays affecté par les explosions et la crise économique

Les explosions sont survenues à un moment très difficile pour le Liban. À la pandémie de coronavirus, s’ajoute une grave crise économique. Depuis plusieurs années, la monnaie locale ne cesse de perdre en valeur et l’inflation continue de grimper.

En raison des explosions, la moitié des entreprises qui se trouvent à proximité du site ont été détruites. À ce jour, le revenu de centaines de milliers de personnes est menacé. Le pays compte en partie sur l’aide humanitaire pour se reconstruire.

Des centaines de maisons ne sont toujours pas réhabilitées et des centaines de familles vivent dans des conditions dangereuses. Les risques de violence sexuelle et sexiste ont augmenté car les familles ont été forcées de déménager dans des habitations surpeuplées.

Les besoins dépassent les dégâts liés aux explosions

Organisation d’une distribution alimentaire après les explosions de Beyrouth, au Liban. Photo: Sam Tarling / Oxfam.

Une équipe de bénévoles en soutien psychosocial après les explosions de Beyrouth, au Liban. Photo: Sam Tarling / Oxfam.

Installation d’une latrine dans le camp de personnes réfugiées syriennes de Bekaa, au Liban. Photo: Adrian Hartrick / Oxfam.

Une petite fille découvre un kit d’hygiène dans le camp informel de personnes réfugiées syriennes de Bekaa, au Liban. Photo: Adrian Hartrick / Oxfam.

Recensement des besoins dans le camp de personnes réfugiées syriennes de Bekaa, au Liban. Photo: Sahar Elbachir / Oxfam.

Une femme dans le camp de personnes réfugiées syriennes de Bekaa, au Liban. Photo: Adrian Hartrick / Oxfam.

Le Liban est le pays qui accueille, en proportion, le plus de personnes réfugiées au monde : 25 % de la population libanaise vient d’un autre pays qu’elle a dû fuir, comme la Syrie ou les territoires palestiniens occupés.

Nous intervenons par exemple dans la plaine de Bekaa qui accueille près de 40 % de la population syrienne réfugiée au Liban. Nous leur fournissons notamment un accès durable à des installations d’eau potable et améliorons l’accès des communautés aux services de base.

En plus de contribuer à lutter contre la propagation de la COVID-19 dans le pays, ces interventions permettent de soutenir la communauté libanaise, au-delà du secteur affecté par les explosions récentes à Beyrouth.

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Oxfam apporte son soutien à la population

En réponse aux explosions, Oxfam a rejoint 5465 personnes, avec le soutien de ses partenaires locaux: MADA, LPHU, Kafa, NABAD, ABAAD, CLDH et SAMIDOUN.

repas

Colis alimentaire

2 270 personnes

hygiène

Kits d’hygiène

99 familles

maison

Réhabilitation d’abris

159 personnes

soutien

Soutien psychologique

453 personnes

Un geste qui change des vies

En agissant ensemble, nous pourrons continuer à améliorer le quotidien de nombreuses personnes en situation d’urgence. Vous pouvez changer des vies en soutenant les activités d’Oxfam au Liban.

robinet
25 $

J’offre un filtre à eau pour toute une famille

repas
65 $

J’offre des repas à une famille pour une semaine

sceau
250 $

J’offre 10 trousses de survie

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mains ouvertesSi Oxfam-Québec ne peut acheminer un don vers le projet ou la cause désignée, il peut être réorienté vers un projet ou une cause qui y correspond le plus, tout en essayant de conserver l’objectif philanthropique de la personne donatrice.

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